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Terre et Univers

Découvrez une liste non exhaustive des différents métiers possibles dans les Sciences du vivant, de la terre et de l’environnement.

Exemples de métiers
Chercheur (H/F) en modélisation du climat
Chercheur (H/F) en tectonique active
Chercheur (H/F) en analyse de la vulnérabilité de notre planète
Chercheur (H/F) en astrophysique
Chercheur et chercheuse en tectonique active

Chercheur (H/F) en modélisation du climat

Le chercheur modélisateur du climat est un scientifique qui utilise des modèles mathématiques pour comprendre et simuler les systèmes climatiques. En appliquant les méthodes de la programmation numérique, il construit des codes qui permettent de reproduire les variations dans le temps et dans l’espace des variables climatiques essentielles. En rassemblant et analysant des données sur le climat actuel et passé, il cherche à contraindre ses modèles. Les modèles sont ensuite utilisés pour comprendre la hiérarchie des phénomènes à l’œuvre mais aussi pour prédire les conditions climatiques futures, ce qui peut aider à comprendre les impacts potentiels du changement climatique sur l'environnement et les populations. Les modélisateurs du climat travaillent souvent en collaboration avec d'autres scientifiques pour produire des projections climatiques fiables et des recommandations pour la prise de décision politique et les stratégies d'adaptation.

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Chercheur (H/F) en tectonique active

Il s’agit de mieux comprendre le cycle sismique, depuis l'événement sismique jusqu'à l'intégration de la déformation. À ces fins, les chercheurs se rendent régulièrement sur le terrain (1 à 2 mois par an) pour étudier les zones les plus actives de la planète. Ils étudient également les grands séismes contemporains en utilisant l'imagerie satellitaire, la cartographie des ruptures sur le terrain, la réalisation de tranchées pour observer les déplacements cumulés et dater précisément les derniers séismes. Ils s’intéressent également aux processus de déformation des grandes failles continentales.

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Chercheur (H/F) en analyse de la vulnérabilité de notre planète

Sécheresse, érosion des sols, inondations, glissements de terrain, crises sanitaires : l’habitabilité de de notre planète est fragilisée par le changement climatique et/ou l’activité humaine. Depuis de nombreuses années, le CNRS contribue à l’amélioration de nos connaissances pour évaluer les effets de de ces perturbations sur le devenir notre environnement. En s’appuyant sur des recherches de nature fondamentale dans des disciplines majeures (chimie, mathématiques, physique, sciences de la vie, sciences humaines et sociales), ces scientifiques apportent des éléments de réponse à des questions sociétales devenues critiques pour la qualité de la vie à l’échelle de la planète. Ils s’appuient sur un monitoring environnemental issu d’observatoires installés sur toute la planète, de l’expérimentation pour identifier les facteurs et processus de contrôle, et enfin de la modélisation permettant de quantifier et localiser les vulnérabilités environnementales, les seuils de rupture, et les risques.

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Chercheur (H/F) en astrophysique

Quelle est l’histoire de l'Univers depuis le Big Bang il y a 13,8 milliards d’années ? Comment se forment et évoluent les galaxies, les étoiles, les planètes et les petits corps comme les astéroïdes et les comètes? Est-ce que la vie existe en dehors de la Terre? En étudiant l’Univers au moyen d’observations avec des télescopes, des sondes spatiales, des modèles théoriques et parfois des mesures in situ, les chercheurs obtiennent des réponses à ces questions existentielles sur nos origines cosmiques.

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Chercheur et chercheuse en tectonique active

Il s’agit de mieux comprendre le cycle sismique, depuis l'événement sismique jusqu'à l'intégration de la déformation. À ces fins, les chercheurs se rendent régulièrement sur le terrain (1 à 2 mois par an) pour étudier les zones les plus actives de la planète. Ils étudient également les grands séismes contemporains en utilisant l'imagerie satellitaire, la cartographie des ruptures sur le terrain, la réalisation de tranchées pour observer les déplacements cumulés et dater précisément les derniers séismes. Ils s’intéressent également aux processus de déformation des grandes failles continentales.

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