Bien être au travail

De multiples actions sont mises en place au CNRS pour développer et enrichir la notion de bien être au travail.

La médiation

La médiatrice du CNRS, Pascale Beyma, intervient au niveau national pour résoudre les conflits et les difficultés relationnelles des agents CNRS au travail, avec des impacts individuels et collectifs. Elle respecte le code de déontologie du médiateur, garantissant l’indépendance, la confidentialité, l’écoute, l’impartialité, la neutralité et le caractère volontaire de la démarche. La médiatrice intervient également comme facilitatrice des difficultés administratives entre agents du CNRS et services de l’établissement. Elle ne dispose pas de pouvoir décisionnaire dans le cadre de ses missions. Chaque année, elle soumet un rapport anonymisé au PDG du CNRS et rend compte de ses activités au F3SCT du CNRS. Elle n’intervient pas dans les questions liées à l’intégrité scientifique et à la déontologie.

Pour en savoir plus

Le signalement

Tel que prévu par la loi du 6 août 2019 relative à la transformation de la fonction publique, le CNRS met une cellule d’écoute et de soutien à la disposition des agents qui s’estiment victime ou témoin d’un acte de violence, d’un acte de discrimination, d’actes de harcèlement moral ou sexuel ou d’agissements sexistes.

Le fonctionnement du dispositif fait l’objet d’une circulaire dédiée. Les fonctions de référent signalements sont assurées par Joël Moret-Bailly, qui est assisté d’une Cellule signalements.

Qualité de vie au travail

Depuis 2017, le CNRS a décidé de faire de la qualité de vie au travail une de ses priorités Ressources Humaines. Un plan d’actions pour une démarche de qualité de vie au travail a été défini, dont l’appel à projets QVT (Qualité de Vie au Travail) constitue l’une des actions.

Chaque année, la Direction des Ressources Humaines du CNRS propose un appel à projets sur la qualité de vie, destiné à soutenir des initiatives collectives sur la « recette » qui permettra de développer individuellement et collectivement un sentiment de bien-être au travail au sein de l’Unité.

Santé et sécurité au travail

Le CNRS s’engage à bâtir un environnement de travail sain et à intégrer les questions de santé et de sécurité à l’ensemble de ses activités pour limiter les accidents et incidents. Le CNRS s’attache à prévenir les risques professionnels dans ses 1100 laboratoires, en France et à l’étranger notamment en s’appuyant sur le Document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP) de chaque unité.

Un programme national de prévention des risques professionnels et d’amélioration des conditions de travail, décliné en 17 programmes régionaux et autant de plan d’actions que de laboratoires, fixe les priorités à venir et tiennent compte à la fois de la réalité du terrain mais aussi des orientations stratégiques de l’établissement et celles de notre ministère de tutelle.

Parallèlement, le CNRS développe une documentation et des outils, communique régulière sur les risques rencontrés dans les laboratoires, forme près de 8000 personnes chaque année aux questions de santé et sécurité au travail et anime un réseau de 2200 assistantes et assistants de prévention.